top of page

General O’seal’eau 

 

Le général O’seal’eau est né en 1901 dans une simple famille de fermiers, dans la campagne aux alentours de Londres. Il passe son enfance à courir autour de sa maison, se voyant sportif de haut niveau quand il serait grand. Malheureusement, le destin en veut autrement. A ses 13 ans, la première guerre éclate et il intègre l’armée Anglaise où il travaille comme messager. Toujours aussi bon en course, il assurait la communication entre la ligne de front et les quartiers généraux. Il était apprécié par ses supérieurs, car, ne sachant pas lire, il ne risquait pas de déchiffrer les précieuses informations qu’il transportait. Entre les deux guerres, le jeune messager fut promu sergent, puis colonel au poste de la communication. O’seal’eau continuant de se passionner pour les communications, commença sa propre collection d’objet de télécommunications high tech. Radios à ampoules, pigeons, téléphones à cornet remplissaient sa maison. Au début de la seconde guerre, le colonel O’seal’eau était trop vieux pour continuer à courir sur les champs de batailles. On lui confia donc le poste de général aux affaires de communications. C’est donc lui qui assurait une liaison permanente avec les résistants français, mettant en pratique ses connaissances sur tous les types d’émetteurs et récepteurs. N’ayant toujours pas appris à lire et par son manque de culture, il commettait régulièrement des erreurs à l’envoi de ses messages… Le plus connu à nos jours est resté : «â€¯Les sanglots longs des violons d'automne blessent (au lieu de bercent) mon cœur d’une langueur monotone. » 

thumbnail.jpeg
thumbnail (2).jpeg

Soldat Heinrich 

(sa maman l’appelait Heinrichinou) 

​

Il est né peu avant le début de la première guerre, dans une riche famille de restaurateurs. En effet, ses parents firent jadis fortune dans le business du schnitzel. Au début de la guerre, toute la famille fut mobilisée derrière le front pour préparer à manger aux soldats allemands. De nature paresseuse, Heinrich n’aimait pas travailler dans les cuisines… Entre les deux guerres, il s’improvisa inventeur. C’est à lui que nous devons le presse purée à levier, et le célèbre Eierschalensollbruchstellenverursacher (littéralement : Appareil responsable de points de rupture dans la coquille d'œuf) servant à ouvrir les œufs à la coque sans faire de massacre. Le malheureux n’ayant pas déposé de brevet pour ces inventions révolutionnaires, n’en décrocha pas le moindre bénéfice… Ses parents, mécontents d’avoir investi tant dans le développement de ces instruments culinaires sans avoir pu en tirer le moindre profit, envoyèrent le mauvais garçon à l’armée.  Sa connaissance de la mécanique l’amena à être affecté à la conduite de la grosse berline allemande qui servait à traquer les émissions radios des résistants français. Malheureusement fort déconcentré, sa passion pour le foot le fit à plusieurs reprises faire connaissance d’un peu trop près avec des arbres bordant les routes… 

Soldat Helmut

​

Soldat Helmut est un soldat de fort caractère, mystérieux. Taciturne, il ne parle jamais. Quand il parle, c’est le plus souvent pendant son sommeil. Les seules choses que l’on sait de l’individu ont été révélées durant ses monologues nocturnes difficilement compréhensibles. Seul son ami Heinrich a un jour obtenu une anecdote sur la jeunesse de Helmut. L’enfant, à ce moment très curieux posait énormément de questions à sa maman. Sa mère, peu patiente, s’est vite lassé de toutes les interrogations… Dès que le petit Helmut ouvrait la bouche pour poser ses questions, sa maman répondait sur un ton lent et agacé : «â€¯Jaaaaaa Helmut ? ». Cette expression le suivi pour toujours, à chacune de ses interventions. 
Certes, loin d’être un imbécile, il fut toujours complexé de son statut de petit soldat… Il essaya en vain de monter en grades, mais son fort accent nord-Prusse l’empêchait de bien communiquer avec ses supérieurs… Tout le monde savait d’Helmut qu’il ne fallait pas le fâcher. Lorsqu’on joue avec ses pieds, il peut entrer dans des crises de rages terribles. Une fois Helmut de mauvaise humeur, cela peut durer des semaines. Le message est donc : n’agacez jamais Helmut sans quoi, mal vous en prendra.  
Malgré ces apparences de grand dur irritable, Helmut avait quelques aspects plus douillets qui étaient parfois l’objet de rigolade avec ses camarades. S’il était un soldat chevronné n’ayant que très rarement froid aux yeux, il n’aimait pas qu’on marche sur sa paillasse ou d’être privé de brossage de dents. De grosses crises d’humeur pouvaient en découler, et dans ce cas, gare à qui se trouve sur son passage !  

DSC_0023.JPG
bour.png

Germain

 

Originaire du Sud, Germain s’est toujours senti soutenu par la société et ses proches. Durant sa jeunesse il développe une passion pour la colombophilie avec son meilleur pigeon : Marcel. Mais à côté de ça il s’intéresse beaucoup aux téléphones et ordinateurs : la légende dit qu’il peut monter et démonter un téléphone en 12 minutes et 3 secondes, un record absolu ! Sa matière préférée à l’école était les maths, c’est pour ça qu’il décide de suivre des études d'ingénieur informaticien juste avant la guerre.  De plus, ayant grandi dans une bonne famille chrétienne, vivant de leurs cultures de pommes de terre, il sait ce qu'est travailler dur et persévérer. Tous les jours, il retournait labourer, malgré la menace des obus. C’est grâce à cet état d’esprit qu’il décide, le 3 octobre 1940, de se joindre à la résistance. Au début c’était un petit pion au sein de la vaste organisation de résistant, mais au fil du temps il prit de plus en plus d’importance. C’est comme ça qu’il est devenu l’un des résistant le plus important du département Normand. À ce jour Germain est responsable de la répartition du matériel et la communication. 

Commandant Mac Melas

 

Le commandant Mac Melas a eu une jeunesse fort perturbée malgré sa provenance de bonne famille. Dès son jeune âge il suit la philosophie du satanisme et y consacre beaucoup de temps. En conséquence, ses parents l’obligent de commencer à l’école des officiers, ce qui était complètement contre sa volonté. C’est là qu’il se lance dans un nouvel hobby : le curling. Après 2 ans seulement il devient champion d’Angleterre, grâce à son talent incroyable. C’est environ à ce moment-là qu’il met une fin à sa passion pour le satanisme après avoir rencontré Victoire, une demoiselle venant du Sud dont le père faisait carrière dans la politique.

 

Quand la guerre commence, l’Angleterre le sélectionne comme soldat d’élite, pour effectuer des missions de grande importance. Sa capacité d’approcher l’ennemi sans un bruit, fut une raison importante de sa sélection.

IMG_0624.JPG
DSC_0021.JPG

Ober-super-mega-generalfeldmarschall Tschipmünk Hektor

 

L’ober-super-mega-generalfeldmarschall Tschipmünk est le commandant en chef des troupes allemandes qui défendent les côtes françaises. C’est un fin stratège, respecté de ses hommes et craint par tous.
Il nait à großebratkartoffel , ville populaire non loin de Münich. Fils d’un gérant de supermarché, il s’entraine au foot dans l’arrière-boutique. Champion de Bavière de jonglage avec rouleau de PQ, il est finalement repéré par le sélectionneur du Bayern Münich qui l’intègre au noyau de l’équipe. Mais Tschipmünk enchaîne les blessures, et entame une descente aux enfers qui se termine par un prêt au FC Bled-Sur-Sambre, lanterne rouge de 5ème division amateur belge.
Frustré, Tschipmünk se reconvertit alors dans l’armée de terre afin de taper sur autre chose qu’un ballon. Ses qualités de meneur d’hommes lui font rapidement gravir les échelons.  Il passe de simple recrue à ober-super-mega-generalfeldmarschall  en quelques années seulement. Après sa nomination à l’été major en 1941, il s’arrange pour être muté en Normandie, où, selon ses dires, les Fraülein sont aussi douces que les crêpes. 

 

​

Alpuligan 

Le lieutenant Alpaga nait dans la banlieue de Manchester en 1922. Fils d’un père notaire, Yves, et d’une mère sage-femme, Anne, il reçoit une éducation stricte et passe le plus clair de son temps en uniforme impeccable dès la naissance.
Adolescent, il est introduit à la bonne société londonienne et troque son uniforme pour la veste de smoking et le chapeau haut de forme. Mais Alpuligan grandit à une telle vitesse qu’il ruine ses parents en vêtements.  A l’étroit dans ses vestons étriqués, il se détourne alors des mondanités pour embrasser sa vraie passion : la construction. Devenu ouvrier, il monte des bâtiments entiers sans échafaudages ni grues.  L’état anglais fait appel à lui pour la reconstruction du Tower Bridge, qu’il effectue les pieds dans la Tamise.
Au début de la guerre, il est réquisitionné par l’armée et y met à profit son physique exceptionnel. Après avoir attrapé au vol une demi-douzaine de bombardiers allemands, il est intégré dans les forces spéciales.

Screenshot 2020-05-03 at 20.49.04.png
Screenshot 2020-05-03 at 20.47.52.png

Lord Commandouc

Le général Douc est le commandant en chef des troupes alliées.
Il nait au beau milieu de la campagne non loin de Londres.  La vie y est rude mais la nourriture abondante, et il s’y forge une santé (et surtout un estomac) de fer.
Il entame des études d’ingénieur à Cambridge, mais est rejeté de l’université pour avoir transformé le laboratoire de moteurs électriques en usine à fricadelles et instauré une véritable révolution pour réclamer plus de kartoffelpuree à la cantine.
Après avoir noyé sa rancune dans une consommation excessive de beans, il intègre l’armée dans l’espoir d’y perdre quelques kilos.
Ses qualités de meneur d’hommes lui font rapidement gravir les échelons.  Après sa nomination à l’état major en 1941, il s’arrange pour être muté à Londres où il aurait détourné la production de carrot cake vers sa résidence personnelle. Nul n’en est jamais revenu.

bottom of page